Un numérique responsable et souverain
#EtatsGénérauxNumérique
Utilisation de ressources souveraines
Pour garantir la sécurité des données, je propose la constitution d'un référentiel de logiciels semblable à ce qui se fait déjà :
* SILL (http://references.modernisation.gouv.fr/socle-logiciels-libres)
* RGI (http://references.modernisation.gouv.fr/interoperabilite)
* Visio (https://www.acteurspublics.fr/upload/media/default/0001/28/091da71be0010bb4d8bd37ffccaf3c0bb767c618.pdf)
Ce nouveau référentiel aurait vocation à recenser les outils disponibles sur le marché (libre ou commerciaux) dont l'usage est spécifique à et recommandé pour l'enseignement.
Les conditions permettant de figurer dans ce référentiel devraient être définies en concertation avec l'ANSSI et la CNIL afin de garantir la souveraineté des données, c'est-à-dire la sécurité du logiciel suite à un audit (plus ou moins approfondi) et une gestion raisonnable des données personnelles.
A titre indicatif, un des critères pourrait être l'interopérabilité (pour ne pas être dépendant d'une solution commerciale particulière) ou la portabilité des données (un élève pouvant changer d'établissement, ses données doivent changer de même et être exploitables par les systèmes d'information des deux établissements).
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Le "chiffrement" peut être compris de deux façons :
1) L'algorithme mathématique élaboré par des cryptographes. Cet algorithme est nécessairement public, généralement revu et analysé par de nombreux scientifiques reconnus. Cet algorithme n'est soumis à aucune restriction légale (nationale ou autre) : c'est de la connaissance publique librement partageable à travers le monde.
Si vous faites référence à la nationalité des concepteurs, cela n'a pas plus d'importance. Tant que l'algorithme est publique, il peut être audité et analysé par des spécialistes pour en valider la qualité. Pour peu que les dits spécialistes soient français, l'algorithme peut être repris et utilisé au bénéfice de leur pays sans ingérence ni menace extérieure. Cela reste vrai pour toutes les nationalités, d'où l'absence de pertinence.
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