Un numérique responsable et souverain
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La classe à la maison m'a questionné
Je n'ai pas voulu utiliser l'outil "la classe à la maison" lors de la continuité pédagogique car je ne l'ai pas trouvé "dans les clous": en effet, en début d'année , on nous demande de faire remplir aux familles des autorisations aux droits à l'image , à la voix et aux oeuvres , et nous sommes censés normalement le faire pour chaque projet . Or, là , du jour au lendemain , les visio-conférences que certains ont utilisé n'avaient aucune de ces autorisations , et n'importe qui pouvait faire des captures d'écran et des enfants et des enseignants, et se retrouver après sur la toile. Bien sûr, la situation a nécéssité une réaction rapide pour assurer la continuité pédagogique... mais là, il y a , je pense , un revers juridique à repenser.
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Conversation avec G-Vidal
je suis d'accord avec votre position @FG et @quentinm Il est extrêmement dommage et dommageable que des enseignants en plein désarroi il faut reconnaître n'aient eu connaissance que d'outils de visioconférence intrusifs et aux intentions discutables alors que l'educ. avait elle même lis en place https://educnat-ensemble.scaleway.com/ qui était un service dédié fourni par un hébergeur français. Pour aller plus loin l'installation de JITSI sur des serveurs d'établissement ou de région n'est pas compliqué ni couteux, si seulement il n'y avait pas une monstrueuse inertie et une conception surannée de l'organisation des ressources numériques éducatives. Pour aller encore plus loin pourquoi n'a-t-on pas envisagé et mis en place des services de vidéodiffusion où le prof diffuse son cours et interagit en chat avec ses élèves. C'est tout aussi simple, gratuit et libre (oups c'est ça le problème ?)
Moi pas dans le métier. Alors désolé je ne comprends pas qui se cache derrière le mot "monstrueuse inertie". Il s'agit forcément de personnes qui jouent le rôle de bouchons de cérumen, ou des "entités humaines". En tant que citoyen, je trouve choquant que des ressources installées et payées par le contribuables n'aient pas été utilisées, surtout sur support "français". Et donc je trouve incompréhensible que ces "étapes" retardantes ne soient pas 1-ciblées 2-remises face à leur responsabilités par une évaluation adaptée 3-voir rétrogradées si ce la ne suffit pas, 4-voir éjectées de l'institution pour faute lourde ; cela quel que soit leur niveau et leur protections d'appartenance internes !!
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