Gouvernance et anticipation
#EtatsGénérauxNumérique
De la confiance, de l'argent, pas du matériel
Cesser d'allouer du matériel aux établissement, mais juste l'argent auquel il correspond.
De cette manière, les établissements pourrons acheter ce dont ils ont besoin et non pas les couteux vidéo-projecteurs interactif que le commercial d'une marque à réussi à fourguer à des «décideurs» qui ne savent pas ce qui se passe en classe et quel sont les besoins.
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3 commentaires
Totalement d'accord. J'ai eu droit à un TBI : cher, lent à démarrer, logiciel propriétaire impossible à utiliser sur mon ordinateur personnel (sous Linux), mais indispensable pour utiliser le TBI (interdit d'utiliser des feutres dessus). Il m'a fait perdre un temps fou, à la maison et en classe. Sans compter l'électricité gaspillée.
Pendant le confinement, j'ai acheté une tablette graphique : mêmes usages, nettement moins cher, et beaucoup plus riche en possibilité. L'élève ou le professeur qui présente peut faire FACE à la classe au lieu de tourner le dos, plus de problème d'élève trop petit pour écrire en haut du tableau, n'importe quel logiciel peut être utilisé. Bref, que des avantages. Sans compter que si l'enseignant ne souhaite pas l'utiliser, il reprend simplement ses feutres à tableau blanc.
Oui et non. La centralisation des achats, par exemple aux lycées par les régions, permet de beaucoup abaisser les couts d'achat.
Perso, quand on a des besoins en microscopes, on fait remonter ce que l'on veut comme caractéristiques de matériel. Je trouve que ça marche bien.
Je m'abstiendrai de tout commentaire sur les vidéoprojecteurs, ne maitrisant pas du tout le sujet.
Ah les centrales d'achat... Les marchés publics.... La clientèle captive... La générosité du contribuable...
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