Enseigner et apprendre avec le numérique
#EtatsGénérauxNumérique
De la nécessité de l' enseignement des logiciels libres.
En 2020, malgré l’omniprésence du numérique, la France ne possède toujours pas de stratégie d’enseignement à ce sujet. Même une initiative comme le POP qui a pour but de [sic] réduire la fracture numérique n’est qu’un gaspillage d’argent n’offrant aucun bénéfice éducatif. Bien que la possession d’un ordinateur est une condition indispensable, elle est inutile si elle n’est pas suivie d’une formation dans la maîtrise de l’outil. Au final cela ne fait qu' avancer le lobby de Microsoft. L' école doit se débarrasser de cette dictature imposée par les compagnies inintéressées par l’éducation avec pour seul agenda de renforcer leur hégémonie. Cette approche est contraire au rôle de l' école.
Apprentissage et créativité ne peuvent s’épanouir que dans un
environnement où les élèves prennent le contrôle de leurs outils. Cela inclus une utilisation sans restrictions, la liberté d’étudier, de modifier et de partager ces derniers. Trois axes sont à explorer pour fixer ce problème :
1) L’enseignement de l’informatique comme matière obligatoire au collège et au lycée. Un sujet aussi fondamental doit être accessible a tous, de la même façon que l’enseignement de l’art de la parole n’est pas réservé aux futurs orateurs et celui de l’art de la plume n’est pas exclusif aux futurs écrivains ou poètes.
2) L’intégration du numérique comme complément dans chacune des matières enseignées. Cette intégration reposera sur le programme existant et donnera une dimension plus importante à la curiosité, à l’esprit critique plutôt que la simple ingurgitation de faits.
3) Ainsi qu’une réflexion sur l’impact des nouvelles technologies sur la société et les mesures à adopter pour une vie digitale saine.
Les outils répondants aux critères précédemment énoncés existent déjà, ce sont des logiciels libres. Il faut maintenant adopter un mode d’enseignement mettant l’accent sur leur importance.
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9 commentaires
Conversation avec MUNIGA
Oui
Mais pour cela il faut mettre les actuels inspecteurs aux placards.
Pourquoi parce que l’école républicaine ne peut pas fonctionner sans cadres. Or ce sont ces derniers qui « encadrent ». Et comme nos actuels inspecteurs sont totalement à l’ouest question numérique on n’y arrivera pas.
Il faut donc oser les remercier et les remplacer. Ce devrait être la conclusion positive de ces états généraux. D’ailleurs les vrais états généraux ce n’étaient pas un peu cela.
Vous comptez écrire "inspecteurs aux placards" dans la plupart de vos commentaires ? S'il vous plaît... un peu de tenue... vous polluez ces propositions enrichissantes.
Ce n’est pas moi qui pollue. Êtes-vous à leur service ?
J’ai fait de très nombreuses observations et même des travaux sur le numérique scolaire. Renseignez-vous avant de vous exprimer si « les inspecteurs vous le permettent ».
"à leur service" ? quelle est votre prochaine étape ? L' "état profond" façon Trump ?
Conversation avec MUNIGA
Stop vous êtes un faux-nez et vous cherchez à détourner mes observations.
La stratégie est connue. Déclinez votre identité comme je le fais. Faites état de votre implication dans le numérique scolaire et nous pourrons probablement échanger.
Là visiblement ce n’est pas possible.
Ah oui c'est bien la prochaine étape... on est dans le "complot"... Je vais vous laisser tranquille, ne vous inquiétez pas. Continuez à généraliser, à être blessant et à mettre le nom de votre site sur la plupart des commentaires. Bien à vous.
Merci à vous.
Oui, les logiciels open-source sont un exemple à suivre, tout comme les distributions (systèmes d'exploitation) GNU/Linux en remplacement de Windows et consorts.
juste voir le désemparement de certains professeur face à des documents en .odt montre l’ampleur du problème...
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