Enseigner et apprendre avec le numérique
#EtatsGénérauxNumérique
On s’aperçoit que de nombreux logiciels, plateformes sont gratuits pour un usage limité et que l'accès en totalité nécessite le paiement de licences annuelles qui ont un impact sur le budget d'une école, d'un collège ... Pourquoi ne pas lister ces outils souvent utilisés (exemple : Chamilo lms) afin que l'E.N. se charge d'acheter des licences pour toutes les écoles et ainsi avoir une conceptualisation des outils numériques.
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?
3 commentaires
Oui mais ne serait-il pas encore plus intéressant de valoriser les produits de nos enseignants ?
En géographie beaucoup s'accordent sur le fait qu'un logiciel de cartographie est un plus. Les seuls sur le marché professionnel sont les SIG. Bien trop complexe pour une utilisation dans le secondaire. J'ai contacté plusieurs "marques" qui m'ont dit que le secteur scolaire n'était pas rentable. Conclusion nous n'avons rien.
Rien ? pas tout à fait, puisque j'ai développé un logiciel de cartographie qui correspond exactement à nos besoins en classe et hors classe. Il est performant et gratuit. La Belgique, les Pays-Bas, le Canada... en font un large écho sur leur site ministériel lié aux ressources pour l'éducation nationale.
Et la France ? on me répond que "nul n'est prophète dans son pays". Je vais donc demander l'asile politique dans un pays tiers afin que je puisse être prophète en France. C'est absurde !
https://www.geographie-muniga.com/Logiciels_Carto_Flash_Prof_SDLV.H.htm
Conversation avec FEREY-STMG
Je suis complètement d'accord que l'éducation nationale doit négocier avec ces sociétés des abonnements premium pour tous les élèves et les professeurs.
A défaut, il serait temps d'embaucher des informaticiens capables de créer des applications tout aussi performante.
Si on prend l'exemple de Pronote, très répandu dans le secondaire. C'est un ancien professeur de mathématique qui l'a créé. Il a eu la bonne idée de quitter l'éducation nationale pour créer sa propre société (INDEX éducation).
Quitter l'éducation nationale pour produire un logiciel. Je sais mais c'est bien français. Alors que pour un petit rien (porter le cartable d'un inspecteur) on gravit les échelons.
Pourquoi ne pas garder ces personnes dans l'éducation nationale, telle est ma question ?
Pourquoi gardons-nous toutes ces personnes aux titres ronflants, aux salaires mirobolants et qui ont de la peine à ouvrir un mail ?
C'est bien notre problème français de l'éducation nationale. Dans nos entreprises, une telle personne aurait tout de suite été responsable du service de recherches informatiques avec un salaire honorable.
Voilà notre problème !
Chargement des commentaires ...