Un égal accès au numérique pour tous / Fracture numérique
#EtatsGénérauxNumérique
Inclusion Numérique
La crise a mis en évidence plusieurs problématiques repérées par les acteurs de l'inclusion numérique.
L'accès au matériel. Cela comprend un ordinateur, une connexion internet et aussi une imprimante. Pour remédier à ce problème, il faut développer des filières de reconditionnement d'une part et prévoir des solutions de connexion à internet pour les familles modestes en particulier notamment à travers les dispositifs de réussite éducative.
En deuxième point il faut intensifier l'accompagnement aux usages. cet accompagnement peut se faire dans les salles informatiques des écoles en dehors des heures de classe.
Il faut renforcer la formation des enseignants dont certains ont découvert l'ENT
Enfin il faut créer des parcours pédagogiques enfants/parents impliquant les acteurs de l'éducation populaire en particulier pour développer ces compétences numériques.
Chaque collectivité devrait pouvoir recruter un référent numérique pour coordonner une stratégie d'inclusion numérique de territoire. Les médiateurs numériques ont vocation à prendre ce rôle.
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•D’accord avec presque tous les points de votre proposition.
•Y ajouterais des incitations «plus que fermes» pour ceux qui sont anti ENT. Les profs anti-numériques n’ont plus leur place dans l’EN. Aucun prof n’a le droit de faire passer ses choix personnels/idéologiques devant les décisions prises démocratiquement par la majorité d’une société !
•Concept «parcours pédagogiques enfants/parents» trouvé excellent ; il me manque la définition de ce que vous incluez dans «les acteurs de l’éducation populaire»
•NON pour le «référent unique». 1-Tout ce qui est unique est irremplaçable et je ne veux pas que cette personne puisse faire faux bond… Prévoyance ! 2-L’unicité empêche aussi le choix d’interlocuteur par l’usager, et la polyvalence de ce référent, lequel serait vite enfermé dans cette carrière. On voit bien à quoi mène le monde du «tout statutaire à vie».
•Et on a mal à voir des «médiateurs numériques» dans nos quotidiens
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