Un égal accès au numérique pour tous / Fracture numérique
#EtatsGénérauxNumérique
Solutions libres, financement, responsabilité écologique
Mettre fin à l'externalisation systématique des services numériques étatiques (marchés d'investissement matériel, maintenance, licences) pour financer des propositions alternatives et souveraines.
Développer des solutions libres et ouvertes, communes à l'ensemble des établissements quelque soient les cycles et l'implantation géographique. Proposer ces matériels et solutions aux collectivités territoriales.
Investir dans des serveurs publics, correctement dimensionnés, sur le territoire national, couplés à des réseaux de chaleur.
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4 commentaires
Conversation avec pecidem
• TRICHEUR !!
• Propal déjà mise dans : «5–GOUVERNANCE & ANTICIPATION : Co-construire »
=> Fine, la moustache ?
Effectivement, on est obligé de poster les propositions dans des catégories qui n'ont pas les mêmes audiences d'où des tentations de changer le titre, poster plusieurs fois ... pour mieux couvrir l'audience :
C'est la même proposition Financement & solutions libres qui apparaît 4 fois en tapant "externalisation" dans le moteur de recherche avec les titres :
"Solutions libres", "Financement & solutions libres", "Solutions libres, financement, responsabilité écologique".
Une solution serait de gérer les catégories comme dans les mediawiki en déclarant plusieurs catégories pour la même proposition.
Ça n'est pas de la triche, c'est juste une intelligence de présence dans un environnement numérique qui par nature cloisonne les initiatives ... comme aussi ne pas indexer les commentaires et les ignorer dans les extractions etats-generaux-du-numerique.education.gouv.fr-open-data.zip .
Et qu'en est-il de la facture environnementale? IL me semble que l'empreinte carbone de toutes ces pratiques n'est pas nulle. Je comprends qu'en temps d'épidémie, pour assurer la continuité pédagogique, on ait recours au numérique mais le développer à outrance me parait écologiquement criminel. De plus, du point de vue pédagogique, je ne suis pas sûre que tous les "décrocheurs" aient été victime de la fracture numérique. Beaucoup n'ont pas su se forcer à travailler et ont profité d'une connexion de qualité pour jouer en ligne jusqu'à des heures indues.
Donc les décrocheurs ont une facture environnementale pire que les cours par numérique ?!
J'avoue n'avoir aucun critère de choix possible entre un numérique ludique pour apprendre, et un numérique ludique pour se vider la tête...
Peut-être que les EGNE pourraient réaffirmer qu'il vaut mieux se remplir la tête que la vider... Mais je ne pense pas dans leur rôle de calculer le bilan carbone différenciel des différentes méthodes pédagogiques.
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